Depuis peu, il est impossible d’échapper au débat qui occupe la majeur partie de nos chers parlementaires. A croire que la crise est finie. Pendant qu’on nous annonce des déficits publiques abyssaux, un afflux massif de demandeur d’emploi …j’en passe et d’autres réalités bien plus terre à terre. Nos chers députés se sont découvert une âme de feministe.
Bien qu’on puisse (et on doit) trouver risible la chose, il est un point intéressant qu’on peut noter de ce débat (parce qu’on n’a pas bien le choix du débat) : comment la société française peut elle s’accommoder de l’avènement d’autres points et éléments culturels qui lui sont en tout point étrangers ?
La réalité est que la burqa n’est pas un signe religieux mais un habit traditionnel. C’est marrant, puisque c’est un point qui ne souffre d’aucune ambiguïté mais qui tue le débat, du même coup dans son œuf ! Car si c’est un habit traditionnel, au delà même d’avoir le droit de le trouver beau ou laid, on est alors conscient qu’il ne s’agisse du coup pas d’un débat sur la religion musulmane ! Là devrait s’arrêter l’amalgame même si je suis conscient que c’est un doux rêve.
Mais puisque on est conscient du niveau de nos chers parlementaires (et oui on a les députes qu’on mérite, et nous sommes du coup aussi médiocres qu’eux puisque nous les avons choisi !) acceptons d’en discuter. L’habit lui-même ne peut être répréhensible car la burqa marque aussi bien un asservissement de la femme tout comme ces « kevina » qui se trimballe en talon aiguilles (d’ailleurs les entendre geindre de douleur parc qu’elles ne sont pas habitués me fait toujours autant mourir de rire) avec un pantalon en taille basse, le bide à l’air et le string qui dépasse !
Le monde est à l’extrême, se camoufler ou tout montrer nait de la même origine : la soumission !
Comment peut on imaginer (le conseil constitutionnel, j’en prends le pari ne peut laisser une telle aberration !) aujourd’hui inscrire dans nos code et règlements que le port de la burqa est interdit ! Et puis même si on aménage notre législation pour pouvoir promulguer cette loi, c’est la une dérive dangereuse. La liberté d’apparence et donc notamment de la tenue vestimentaire relève du pouvoir de l’autodétermination. Le seul précédent, bien fâcheux celui la d’ailleurs, fut pendant la période fasciste avec les juifs. Car si aujourd’hui la loi peut vous édicter ce que vous ne pouvez pas porter…il n y a qu’un pas pour que demain elle vous dicte ce que vous devez porter (je connais déjà la limite que vous pouvez m’opposer qui est celle de ne pas pouvoir se balader nu dans les rues, certes !)
Il y a avait dans ce débat l’occasion de réfléchir sur les mutations de la société française, comment la société française pouvait adopter la religion musulmane en parfaite harmonie avec les lois et valeurs de la république, mais encore une fois, on a regardé l’histoire par le petit trou de la lorgnette !
En Australie, par exemple, une municipalité, a imagine ce qu’on appelle communément le « burqini », une tenue spécialement étudiée pour être portée par les jeunes femmes de confession musulmane, en parfait accord avec leur foi. Afin de prendre en compte la réalité de sa société multiculturelle et permettre à des jeunes de confession musulmane d’intégrer la société des sauveteurs de leurs plages. Voila une façon de réfléchir concise et efficace. Bien évidemment, cela vous déplaira si vous allez à la plage pour admirer Pamela Anderson et sa poitrine généreuse. Mais ces politiciens la ont avoue n’avoir eu qu’un seul but. Permettre à ces jeunes la de pouvoir exercer efficacement et sans danger pour leurs concitoyens.
On est loin la d’un tel apaisement et d’une telle recherche. Mais encore une fois on a les députes qu’on mérite alors ne nous plaignons pas puisque ils sont à notre image bien médiocre et d’une étroitesse d’esprit affligeante.
Mais une chose me taraude, si on dit que « l’habit ne fait pas le moine » alors peut on imaginer qu’il y ait des personnes qui porte cet accoutrement de burqa de leur plein gré ? ou alors toutes les femmes de confessions musulmanes et amatrices de la burqa ne sont que des soumises sans convictions ni foi ?
Je m’interroge …
mardi 23 juin 2009
vendredi 19 juin 2009
les noces d'etain n'auront pas lieu !
Quand je repense à ces instants, je me dis que le temps est traitre. Car j’ai beau me défaire de son emprise, omettre jusqu'à son existence, nier sa force…il me rappelle toujours à l’ordre. Moi et tout mon être seront inscrits à jamais dans son code génétique.
Ce samedi la nous nous sommes pris et serrés les deux mains et devant témoin nous nous sommes promis, l'un à l'autre, pour l’éternité. Dans la peine, la joie, la santé comme la maladie…nous nous sommes promis de nous chérir jusqu’à ce que la mort nous sépare ! Vaine requête auprès du grand manitou qu’est le destin. De toute cette période, c’est ce serment qui me hante et qui me torture. Mais que vaut désormais notre parole ? La vie nous a ainsi fait ce cadeau que nous n’avons pas pu garder jalousement. Il faut dire qu’elle nous a aussi tenté, mise à l’épreuve et nous a fait vaciller telle une brindille au gré du vent. Nous avons fini par être déracinés. Cela fera quelques années que mes yeux n’ont pas été exposé à ta vue. Cela fait quelques années que chaque année, cette date anniversaire me rappelle les engagements que nous n'avons pu tenir. Cela fait quelques années que je pense et repense eu dérisoire d’un tel engagement.
La blancheur immaculé de nos habits ce jour la, n’a pas préservé à jamais notre innocence, notre insouciance, nos rires volés à toux ceux qui contre les vents et marrées de notre relation n’ont rien compris du charme qui s’en dégageait.
On avance, chacun tant bien que mal, ignorant ce lien désormais inscrit dans le marbre. On a feint de l’ignorer. On s’est érigé des œillères pour se dire que le monde nous oubliera. La réalité d’une vie et ces vicissitudes nous rappellera toujours à l’ordre car cela fait dix ans qu’on s’était promis de ne plus compter le temps. Désormais c’est le temps qui nous conte à sa façon les engagements que nous n’avons su tenir !
Ce samedi la nous nous sommes pris et serrés les deux mains et devant témoin nous nous sommes promis, l'un à l'autre, pour l’éternité. Dans la peine, la joie, la santé comme la maladie…nous nous sommes promis de nous chérir jusqu’à ce que la mort nous sépare ! Vaine requête auprès du grand manitou qu’est le destin. De toute cette période, c’est ce serment qui me hante et qui me torture. Mais que vaut désormais notre parole ? La vie nous a ainsi fait ce cadeau que nous n’avons pas pu garder jalousement. Il faut dire qu’elle nous a aussi tenté, mise à l’épreuve et nous a fait vaciller telle une brindille au gré du vent. Nous avons fini par être déracinés. Cela fera quelques années que mes yeux n’ont pas été exposé à ta vue. Cela fait quelques années que chaque année, cette date anniversaire me rappelle les engagements que nous n'avons pu tenir. Cela fait quelques années que je pense et repense eu dérisoire d’un tel engagement.
La blancheur immaculé de nos habits ce jour la, n’a pas préservé à jamais notre innocence, notre insouciance, nos rires volés à toux ceux qui contre les vents et marrées de notre relation n’ont rien compris du charme qui s’en dégageait.
On avance, chacun tant bien que mal, ignorant ce lien désormais inscrit dans le marbre. On a feint de l’ignorer. On s’est érigé des œillères pour se dire que le monde nous oubliera. La réalité d’une vie et ces vicissitudes nous rappellera toujours à l’ordre car cela fait dix ans qu’on s’était promis de ne plus compter le temps. Désormais c’est le temps qui nous conte à sa façon les engagements que nous n’avons su tenir !
Demain tu partiras !
C’est comme une ritournelle, une sempiternelle chanson. Elle vous entête, l’idée est la et le corps fait le reste. Bien traitre cette carcasse. Tu es entré dans ma vie comme demain tu vas en sortir. Non pas malgré moi mais bien au gré du vent. Une idée qui vous entête, pas une chanson. En tout cas pas celle qui dit que j’irais ou tu iras. Car il est des voyages qu’il faut savoir faire seul. Il est des solitaires vagabonds qui ne demandent pas l’hospitalité. Que vous accueilliez quand le cœur leur chante. Tu n’es pas ma moitié car tout chez toi et en parfaite symétrie. Et puis tu ne saurais être la moitié d’un con. Comme celui qui ne sait comment te retenir. Oh que le cœur m’en garde car dieu n’y est pour rien. Tu n’es pas non plus mon autre, trop de testostérone pour cela ! Toi ton truc serait plutôt l’endorphine, opiacé autorisé pour ma douleur. Il ne fallait pas panser mes plaies pour laisser un trou aussi béant ! La couche d’ozone en rougit de honte. Mais est ce peut être la ta destination. Je sais comment arrêter un courant d’air, comment éviter à une pomme de tomber dans le verger et comment on envoi une fusée sur la lune. Moi pauvre con, j’en sais des choses. Je sais même que demain tu partiras sans le moindre espoir pour moi de te retenir. Tu es entré chez moi sans crier gare et tu partiras sans me laisser le soin de descendre. Je serais alors un de ces voyageurs qui erre sans que la solitude m’apaise. Alors demain ne sera pas lendemain fête. Parce que les gueules de bois font parties de la fête. Tout comme les remèdes de grand mère. Cella la même qui m’avait mis en garde de cette espèce qui me ressemble et pourtant si dangereuse. Elle m’avait conté cela en toute tranquillité. De cette dame à la silhouette élancée, qui un jour s’emparerait de mon royaume sans nul autre espoir de retour que le cœur bien lourd. Il est vrai qu’importe la place et qu’importe l’endroit car tu iras sans moi et ce pour le coup bien maigre est ma consolante.oui Gavalda me crie encore « ensemble c’est tout ». Je te crie encore, à défaut de te le susurrer, vogues ! non pas la galère car cette dernière me sera réservée mais comme disait Trenet « L'amour est un petit bateau Qui s'en va, tout joyeux, sur l'onde, Voguant vers des pays nouveaux Au hasard de sa course vagabonde ». Au gré de ton périple qui ne me semble pas un si long voyage, je ne donnerais pas mon cœur, pour te retenir, car il est rempli de toi ! bien que paraissant en éclat cela me parait désormais un précieux. Je ne donnerais pas ma vie non plus car, pour toi, elle n’a pas asse vécu.et pour être bien honnête je t’y ai déjà fait une place.je resterais la avec tes gestes doués pour arpenter tes nord et tes sud. Mon corps se souviendra de ton terrain escarpé qui sent beau la flore de ses courbes pas si parfaites. Que c’est bien traitre une carcasse, car elle me rappellera jusqu’à mon dernier souffle la beauté des colonisateurs et de celle qui un jour a envahi mon cœur !
mardi 16 juin 2009
Amazing
Je dois dire que désormais et avec beaucoup de recul, pratiquement 10 mètres, j’ai saisi la nature de ta condescendance. Ce que je prenais pour de la taquinerie était une flatterie pour toi.
Ta façon de te sentir important. Te poser au dessus de moi. Me vanter ta satiété en tout : amour, sexe, humour…amitié, n’était ni plus ni moins qu’une façon de me dire ta solitude.
Ta solitude à baigner dans un monde ou tu te cherches, ou tu te hantes toi-même et ou tu crois y trouver un bonheur qui ne te satisfait pourtant pas.
Je l’ai désormais compris et compatis à ta douleur. Si tu avais écouté, ne serait ce qu’un seul mot de ce que j’ai dit. Tu aurais entendu toute la tendresse et toute la générosité dont je ne suis en rien fier car cela est inné.
Ma culture et mère patrie a inscrit cela en moi. Quelque chose dont je ne peux me dissocier. C’est ainsi et j’apprends à vivre avec, désormais sous les meilleurs hospices.
Tu as cru dans ma flatterie, puisque je sais désormais que tu l’as reçu comme telle, une façon de t’amadouer, te séduire (mais est ce grave, n’est ce pas en nous tous, cette petite envie de plaire), te faire mienne. Je t’accorde pour cette dernière, un petit bout de terrain car j’avais cru ton discours intéressant, ton parcours captivant, ta recherche légitime et louable…je me suis retrouvé ensable au mont saint Michel, ébloui par une beauté qui n’existe pas. La ou j’avais cru acheter un château en Espagne et qui s’est révèle de carte, je me suis enfoui pour la déception de celui qui attend la nouveauté avec son de lot d’espoir.
Tu auras sans doute relevé, avec ta perspicacité de singe qui apprend la grimace, que je n’ai à aucun moment parlé de coup de foudre, d’amour …et je ne sais quelles autres billevesées de chez harlequin !
Je parle de rencontre, ceux que je ne croyais pas que le virtuel pouvait encore offrir avec son lot d’imprévus, d’intérêts, de perspicacité d’attraits (pas physique encore une fois, car je te vois la prendre tes vessies pour des lanternes)…ce sont juste des instant tellement rare dans le virtuel que c’en est devenu littéralement extraordinaire.
Alors me voila avec mon cote gauche, pataud, mon envie constant d’être au dessus de la vague, mes expressions franglaises qui semblent emmener large, ma marche forcée pour le rentre dedans coute que coute. Tout cela t’a aidé à te forger l’opinion la plus détestable aujourd’hui de ma personne : "le garçon intéressé qui croit se jouer de moi !"
Il n’en est rien, reste Eve et je serais toujours Adam ; on pourrait alors se dire de concert et respectivement qu’on ne connait rien d’Adam…et d’Eve !
C’est ce qui est AMAZING et pourvu que ca le reste !!!
toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite
Ta façon de te sentir important. Te poser au dessus de moi. Me vanter ta satiété en tout : amour, sexe, humour…amitié, n’était ni plus ni moins qu’une façon de me dire ta solitude.
Ta solitude à baigner dans un monde ou tu te cherches, ou tu te hantes toi-même et ou tu crois y trouver un bonheur qui ne te satisfait pourtant pas.
Je l’ai désormais compris et compatis à ta douleur. Si tu avais écouté, ne serait ce qu’un seul mot de ce que j’ai dit. Tu aurais entendu toute la tendresse et toute la générosité dont je ne suis en rien fier car cela est inné.
Ma culture et mère patrie a inscrit cela en moi. Quelque chose dont je ne peux me dissocier. C’est ainsi et j’apprends à vivre avec, désormais sous les meilleurs hospices.
Tu as cru dans ma flatterie, puisque je sais désormais que tu l’as reçu comme telle, une façon de t’amadouer, te séduire (mais est ce grave, n’est ce pas en nous tous, cette petite envie de plaire), te faire mienne. Je t’accorde pour cette dernière, un petit bout de terrain car j’avais cru ton discours intéressant, ton parcours captivant, ta recherche légitime et louable…je me suis retrouvé ensable au mont saint Michel, ébloui par une beauté qui n’existe pas. La ou j’avais cru acheter un château en Espagne et qui s’est révèle de carte, je me suis enfoui pour la déception de celui qui attend la nouveauté avec son de lot d’espoir.
Tu auras sans doute relevé, avec ta perspicacité de singe qui apprend la grimace, que je n’ai à aucun moment parlé de coup de foudre, d’amour …et je ne sais quelles autres billevesées de chez harlequin !
Je parle de rencontre, ceux que je ne croyais pas que le virtuel pouvait encore offrir avec son lot d’imprévus, d’intérêts, de perspicacité d’attraits (pas physique encore une fois, car je te vois la prendre tes vessies pour des lanternes)…ce sont juste des instant tellement rare dans le virtuel que c’en est devenu littéralement extraordinaire.
Alors me voila avec mon cote gauche, pataud, mon envie constant d’être au dessus de la vague, mes expressions franglaises qui semblent emmener large, ma marche forcée pour le rentre dedans coute que coute. Tout cela t’a aidé à te forger l’opinion la plus détestable aujourd’hui de ma personne : "le garçon intéressé qui croit se jouer de moi !"
Il n’en est rien, reste Eve et je serais toujours Adam ; on pourrait alors se dire de concert et respectivement qu’on ne connait rien d’Adam…et d’Eve !
C’est ce qui est AMAZING et pourvu que ca le reste !!!
toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite
lundi 15 juin 2009
Crazy me !!
J’aime cette douce folie, ces instants ou vous sentez votre corps rapetisser à mesure que l’envie vous prend d’hurler et que dans votre tête foisonnent mille et une pensées aussi diverses que variées. Dans ces moments là vous devenez sourd. A moins que ce ne soit un état (pas proche de l’Ohio je le conviens, mais au moins aussi loin).
Cela m’arrive fréquemment depuis que j’essaie de contrôler mes nerfs. à l'origine !
À la création du monde qui coïncide parfaitement avec ma naissance (oui avant moi c’était le néant !), on (oui « on », l’autre superpuissant avec tous ses sbires) m’a diagnostiqué une hyperactivité déjà !. Jusqu’il n y a pas si longtemps, j’ai vécu avec. Le sang bouillant, la tête dure comme la feuille. Cela m’a valu quelques désagréments pas si terribles finalement. Mais au moins cela me donnait l’impression d’exister. Pas d’être quelqu’un, puisque je suis le premier à la création. Cela suffira à flatter mon ego jusqu'à la fin de mes jours. C'est-à-dire l’éternité !
Depuis quelques temps donc cette petite folie, qui ne me semble pas passagère, me saisit tel un steak à déguster saignant. Juste un aller retour. Il me semble, pendant ces temps là, être hors du temps et du monde. J’abolis alors toute notion espace/temps. Je ne flotte pas. Je gravite sans doute. Les autres me voient tel un autiste, ne se doutant absolument pas de ce qui peut se passer dans ma tête. Ces moments la coïncident, aussi, bien souvent avec des instants de contrariété avérés. A contrario de la majorité des drogues, la jouissance ne se produit pas pendant. Mais après.
Cela débute avec la chute ou la redescente si vous préférez. Se passe alors de moments où, en général, j’essai de me rappeler les pensées qui m’ont traversés. Bien souvent je suis incapable de les rationaliser, ces pensées.
Cela va pêlemêle de pourquoi ma voisine est nue ? Pourquoi la peine de mort est interdite ? Elle a une jolie poitrine cette conne ?pourquoi son père ne s’est pas masturbé le jour il l’a conçu ? Qui gagnerait la course entre le vent et la pluie, si elle pouvait avoir lieu ? Que rajoute « pro » à « fond » pour rendre le fond de l’eau abyssal ? trouve t on un enfer vers l’endroit ou Lan fronde Pol Pot ? et dans ces cas là quelle est l’odeur de l’orchidée ?
Je suis persuadé que tout cela a un sens qui échappe, encore, à la connaissance. J’ai envisagé la folie, l’aliénation ou autres pathologies mentales connues ou supposées.
Désormais je commence à apprivoiser ces moments. J’en arrive même à souhaiter que leurs apparitions se fassent à des fréquences régulières et rapprochées. Car désormais cela s’apparente à de l’injaculation
Cela m’arrive fréquemment depuis que j’essaie de contrôler mes nerfs. à l'origine !
À la création du monde qui coïncide parfaitement avec ma naissance (oui avant moi c’était le néant !), on (oui « on », l’autre superpuissant avec tous ses sbires) m’a diagnostiqué une hyperactivité déjà !. Jusqu’il n y a pas si longtemps, j’ai vécu avec. Le sang bouillant, la tête dure comme la feuille. Cela m’a valu quelques désagréments pas si terribles finalement. Mais au moins cela me donnait l’impression d’exister. Pas d’être quelqu’un, puisque je suis le premier à la création. Cela suffira à flatter mon ego jusqu'à la fin de mes jours. C'est-à-dire l’éternité !
Depuis quelques temps donc cette petite folie, qui ne me semble pas passagère, me saisit tel un steak à déguster saignant. Juste un aller retour. Il me semble, pendant ces temps là, être hors du temps et du monde. J’abolis alors toute notion espace/temps. Je ne flotte pas. Je gravite sans doute. Les autres me voient tel un autiste, ne se doutant absolument pas de ce qui peut se passer dans ma tête. Ces moments la coïncident, aussi, bien souvent avec des instants de contrariété avérés. A contrario de la majorité des drogues, la jouissance ne se produit pas pendant. Mais après.
Cela débute avec la chute ou la redescente si vous préférez. Se passe alors de moments où, en général, j’essai de me rappeler les pensées qui m’ont traversés. Bien souvent je suis incapable de les rationaliser, ces pensées.
Cela va pêlemêle de pourquoi ma voisine est nue ? Pourquoi la peine de mort est interdite ? Elle a une jolie poitrine cette conne ?pourquoi son père ne s’est pas masturbé le jour il l’a conçu ? Qui gagnerait la course entre le vent et la pluie, si elle pouvait avoir lieu ? Que rajoute « pro » à « fond » pour rendre le fond de l’eau abyssal ? trouve t on un enfer vers l’endroit ou Lan fronde Pol Pot ? et dans ces cas là quelle est l’odeur de l’orchidée ?
Je suis persuadé que tout cela a un sens qui échappe, encore, à la connaissance. J’ai envisagé la folie, l’aliénation ou autres pathologies mentales connues ou supposées.
Désormais je commence à apprivoiser ces moments. J’en arrive même à souhaiter que leurs apparitions se fassent à des fréquences régulières et rapprochées. Car désormais cela s’apparente à de l’injaculation
dimanche 14 juin 2009
Pourquoi se borner à voir le monde qu'avec deux yeux ?
La remarque peut vous paraitre saugrenue. Sauf que je me suis réveillé ce matin et un sourire s’était invité sans la moindre bienseillance dans mon lit. Il y a des politesses je dois dire, dont vous vous accommodez. Ma chambre était dans le noir absolue et il était dix heures et demi.
Voila un de ces miracles dont vous ne vous souciez ni de la véracité ni du pourquoi. Vous saisissez juste l’instant et vous dites Lucky i Am !
En effet donc à cette heure tardive de la matinée, ma chambre était donc dans le noir et pourtant elle baignait de lumière. Ne me demandez pas la raison : la blancheur de ces dents, son minois ravageur je n’en sais absolument rien c’était ainsi et quel moment magnifique.
Je me suis donc réveillé comme un homme heureux que je fusse. Oubliant tous mes tracas quotidiens et me sentant l’âme à défier le monde.
A cat instant précis j’aurais pu devenir suicidaire. Rien ni personne ne pouvait me résister ! Mon cœur empli de la richesse des braves. L’agnostique que je suis cru en un instant au magique, surréel et autre super charlatanisme. Je sentais mes veines qui remplissaient leurs fonctions à merveille. Mon cœur au sang épaissi par les paquets de cigarettes quotidiens retrouva alors une seconde jeunesse.
Je devenais léger comme une plume, idiot et affligé d’un sourire béat d’un adolescent boutonneux.
Le plus incroyable dans tout ca c’est que le fameux sourire mal poli n’était pas seul. Il était généreusement accompagné par de douces formes au galbe parfait. Je me suis rappelé un instant un dessin de Michel ange. C’était sans nul doute l’œuvre d’un plasticien. Il y avait donc la pèle mél mademoiselle seins nourriciers à la symétrie parfaite et aux rondeurs honteusement provocatrices, mademoiselle douceur de la peau légèrement ornée. Cette dernière fut sans doute la plus troublante. Imaginez-vous victime de tyson à la belle époque ko en train de vaciller entre la posture debout et la recherche du tapis. J’étais ko. Je ne saurais vous dire comment cette armée m’a attaqué. Je n’ai pas eu le temps de comprendre grand-chose. Tout juste si je me rappel un doux baiser sur ma bouche, tous les poils de mon corps qui se raidissent et enfin une posture phallique au delà de mon bas ventre. Le temps fut court, bref et comme suspendu.
Le temps de me rendre compte du si peux que je viens de vous livrer que tout ce beau monde avait disparu.
Je déclare ainsi solennellement devant témoin accepter de me faire attaquer chaque matin que le bon dieu fait. Si cette escadrille se reconnait, j’accepte volontiers de parler avec leurs responsables sans la présence des forces de l’ordre. Je me soumettrai à vos quatre volontés mais je n’aurais qu’une seule condition !
Mr sourire n’a pas le droit de manquer un seul de mes réveils !
Car ce matin je me suis fait attaquer par un sourire et il n’était pas tout seul. Dieu que c’était bon !
Voila un de ces miracles dont vous ne vous souciez ni de la véracité ni du pourquoi. Vous saisissez juste l’instant et vous dites Lucky i Am !
En effet donc à cette heure tardive de la matinée, ma chambre était donc dans le noir et pourtant elle baignait de lumière. Ne me demandez pas la raison : la blancheur de ces dents, son minois ravageur je n’en sais absolument rien c’était ainsi et quel moment magnifique.
Je me suis donc réveillé comme un homme heureux que je fusse. Oubliant tous mes tracas quotidiens et me sentant l’âme à défier le monde.
A cat instant précis j’aurais pu devenir suicidaire. Rien ni personne ne pouvait me résister ! Mon cœur empli de la richesse des braves. L’agnostique que je suis cru en un instant au magique, surréel et autre super charlatanisme. Je sentais mes veines qui remplissaient leurs fonctions à merveille. Mon cœur au sang épaissi par les paquets de cigarettes quotidiens retrouva alors une seconde jeunesse.
Je devenais léger comme une plume, idiot et affligé d’un sourire béat d’un adolescent boutonneux.
Le plus incroyable dans tout ca c’est que le fameux sourire mal poli n’était pas seul. Il était généreusement accompagné par de douces formes au galbe parfait. Je me suis rappelé un instant un dessin de Michel ange. C’était sans nul doute l’œuvre d’un plasticien. Il y avait donc la pèle mél mademoiselle seins nourriciers à la symétrie parfaite et aux rondeurs honteusement provocatrices, mademoiselle douceur de la peau légèrement ornée. Cette dernière fut sans doute la plus troublante. Imaginez-vous victime de tyson à la belle époque ko en train de vaciller entre la posture debout et la recherche du tapis. J’étais ko. Je ne saurais vous dire comment cette armée m’a attaqué. Je n’ai pas eu le temps de comprendre grand-chose. Tout juste si je me rappel un doux baiser sur ma bouche, tous les poils de mon corps qui se raidissent et enfin une posture phallique au delà de mon bas ventre. Le temps fut court, bref et comme suspendu.
Le temps de me rendre compte du si peux que je viens de vous livrer que tout ce beau monde avait disparu.
Je déclare ainsi solennellement devant témoin accepter de me faire attaquer chaque matin que le bon dieu fait. Si cette escadrille se reconnait, j’accepte volontiers de parler avec leurs responsables sans la présence des forces de l’ordre. Je me soumettrai à vos quatre volontés mais je n’aurais qu’une seule condition !
Mr sourire n’a pas le droit de manquer un seul de mes réveils !
Car ce matin je me suis fait attaquer par un sourire et il n’était pas tout seul. Dieu que c’était bon !
vendredi 12 juin 2009
un matin de lucidité
Je savais que mon cœur s'arrêterait de battre un jour...pour toi. Je l'ai su le jour ou j'ai compris qui tu étais. Cette nuit passée ne fut que pour me conforter dans cette idée. De ce voyage dont on ne veut ni descendre du train ni présumer d'arriver à bon port. On guette alors les moments d'effondrement. Lourd de sens et pourtant pas si surprenant. Parce que ces chemins la bien qu'on en connaisse l'issue, on les empreinte volontiers et ce même dans l'obscurité.
Tu n'as jamais été une personne admirable pour moi. Mon cœur rempli de ses faiblesses a cru un jour que tu étais l'élu. Ma raison ne s'en faisait pas une montagne, car elle présumait l'amourette de comptoir qui s'en irait des que la pluie cesserait sa véhémence.
Tu es un courant d'air qui, au mieux, a aéré mon esprit de ces temps frais matinaux plein de promesses de l'ombre. Mais de la plaie bénigne qui provoque l'amputation, j'ai compris avant l'heure qu'un antiseptique ferait l'affaire. Un simple remède de grand mère suffisait, t'offrir ce que tu veux pour que tu te dévoiles au grand jour.
Je continuerais mon bonhomme de chemin attristé par la nature humaine...par ta nature et ce que tu te réserves avec la pauvreté de ton âme. Tu fais, pour te persuader d'exister et rendre ta vie intéressante, la danse folle des animaux désespérés. Celle qui, au lieu de faire peur, provoque la pitié.
Oh crois moi non pas que je sois aigri d'un quelconque manque. Car tu m'as apporte la seule chose que tu possèdes malgré toi : ton cul en paillasson ! J’en ai les pieds propres aujourd'hui et je ne te dirais jamais assez merci pour ca.
Dieu merci j'ai su à temps dire non à ..."tes forêts tes loups tes gratte-ciel", à "tes torrents tes neiges éternelles". "J'habite où tes yeux sont aveuglés et où ton sang coule...désormais dans le caniveau !
Je n'irai pas où tu iras et dieu merci mon pays ne sera pas toi et qu'importe la place, qu'importe l'endroit !
Tu n'as jamais été une personne admirable pour moi. Mon cœur rempli de ses faiblesses a cru un jour que tu étais l'élu. Ma raison ne s'en faisait pas une montagne, car elle présumait l'amourette de comptoir qui s'en irait des que la pluie cesserait sa véhémence.
Tu es un courant d'air qui, au mieux, a aéré mon esprit de ces temps frais matinaux plein de promesses de l'ombre. Mais de la plaie bénigne qui provoque l'amputation, j'ai compris avant l'heure qu'un antiseptique ferait l'affaire. Un simple remède de grand mère suffisait, t'offrir ce que tu veux pour que tu te dévoiles au grand jour.
Je continuerais mon bonhomme de chemin attristé par la nature humaine...par ta nature et ce que tu te réserves avec la pauvreté de ton âme. Tu fais, pour te persuader d'exister et rendre ta vie intéressante, la danse folle des animaux désespérés. Celle qui, au lieu de faire peur, provoque la pitié.
Oh crois moi non pas que je sois aigri d'un quelconque manque. Car tu m'as apporte la seule chose que tu possèdes malgré toi : ton cul en paillasson ! J’en ai les pieds propres aujourd'hui et je ne te dirais jamais assez merci pour ca.
Dieu merci j'ai su à temps dire non à ..."tes forêts tes loups tes gratte-ciel", à "tes torrents tes neiges éternelles". "J'habite où tes yeux sont aveuglés et où ton sang coule...désormais dans le caniveau !
Je n'irai pas où tu iras et dieu merci mon pays ne sera pas toi et qu'importe la place, qu'importe l'endroit !
dimanche 7 juin 2009
SIFFLES MOI !!!!
cela fait belles lurettes qu'on essaie de se caser l'un et l'autre dans nos emploi du temps. bon an mal an, cela a fini par faire deux ans qu'on s'etait quitté des yeux et pour une fois l'adage ne fut pas bon : loin des yeux pres de mon coeur ! je sais ce qu'il en est des histoires d'amour en general ! nous nous sommes pas foules pour trainer à nos pieds cette vessie qui se prend pour une lanterne et qui n'éclaire que le passé. toi et moi, on a été lie comme plus que les deux doigts d'une main : parce que tu fus mon amante, mon amie et ma confidente ...oui il ne restait plus que tu ne fusses la mère de mes enfants ! c'est ainsi ! la vie nous a un un peu dispersé ! nous revoir un peu dans des situation si inconfortable, mais comment en aurait il pu être autrement, m'a fait verse un larme. non pas celle de celui qui est aigri ou qui regrette, mais celle de celui qui s'est remémore nos beaux et drôle de moment de complicité que la vie nous a offerte!!
tu es, tu fus et tu seras toujours une personne spéciale dans le hall ofa fame de mon bonheur. tu as et tu auras toujours un pass vip, pour cet au delà qui, à un moment nous a dépassé. sans doute parce que ma jeunesse et son lot d'erreur avaient pris le dessus sur tout le reste.
je te rassure, tu n'es pour rien dans ce bel élan brise. j'en prends l'entière responsabilité. dans notre bonheur, ce ne fut pas un malheur de se quitter. juste apprendre à ne plus vivre ces beaux moment que le ciel vous offre en cadeau. et malgré tout ce brouillard, nous avons réussi à maintenir une visibilité. celle qui t'a permis de m'offrir ce weekend cet excellent quick que j'ai apprécie avec délectation. et de cette nuit j'en ai retenu que peu importe la boisson pourvu qu'il y ait l'ivresse.
celle de t'avoir revu, toi, ta beauté, ta gentillesse, ton humour ... et ce petit quelque chose qui a fi de toit et moi un jour un nous !!!
je te sais voyageuse, non pas de celle qui prennent le large des que l'amarrage est défait, mais celle qui a envie d'un autre et d'un ailleurs. je guetterais désormais tes moindres et gestes parce que tu n'auras qu'un mot à dire qui me rappelera ta legandair facon de passer tes nerfs sur moi : SIFFLES MOI !!!!!!
tu es, tu fus et tu seras toujours une personne spéciale dans le hall ofa fame de mon bonheur. tu as et tu auras toujours un pass vip, pour cet au delà qui, à un moment nous a dépassé. sans doute parce que ma jeunesse et son lot d'erreur avaient pris le dessus sur tout le reste.
je te rassure, tu n'es pour rien dans ce bel élan brise. j'en prends l'entière responsabilité. dans notre bonheur, ce ne fut pas un malheur de se quitter. juste apprendre à ne plus vivre ces beaux moment que le ciel vous offre en cadeau. et malgré tout ce brouillard, nous avons réussi à maintenir une visibilité. celle qui t'a permis de m'offrir ce weekend cet excellent quick que j'ai apprécie avec délectation. et de cette nuit j'en ai retenu que peu importe la boisson pourvu qu'il y ait l'ivresse.
celle de t'avoir revu, toi, ta beauté, ta gentillesse, ton humour ... et ce petit quelque chose qui a fi de toit et moi un jour un nous !!!
je te sais voyageuse, non pas de celle qui prennent le large des que l'amarrage est défait, mais celle qui a envie d'un autre et d'un ailleurs. je guetterais désormais tes moindres et gestes parce que tu n'auras qu'un mot à dire qui me rappelera ta legandair facon de passer tes nerfs sur moi : SIFFLES MOI !!!!!!
jeudi 4 juin 2009
ODE A LA POUF !!!
Je parle de la vrai, de l’écervelée, de la plus bonne des plus bonne de toutes tes copines, aux formes généreuses ehontement blonde si ce n’est par ses cheveux du moins dans sa tète.
Je t’admire. Pour ce que tu te prends dans la tronche.
Depuis que je surfe (je cause djeune ma gente dame !), il ne se passe un jour sans que je ne vois un texte pour te dénigrer. Pendant des siècles les hommes ont agi de la sorte en toute impunité. Usant et abusant de la chair humaine "amaguiz" comme disait l’excellent Rochefort !
Cela contribuait même à renforcer leur virilité. Il est même des expressions, telle « homme à femme » pour les nommer avec ce que cela comporte de valorisation. Et puis après la femme et l’homme, dieu créa la pouf, une race à part.
Consommatrice, dans l’esprit nymphomane, encore un quolibet, une expression sans les dorures. Nous sommes dans l’ère virtuelle. On achète, on consomme et on jette. Vous, les pouf, vous l’avez compris.
Parce qu’on est en droit d’exiger la qualité en tout point, quoi qu’il en coute. Toutes les qualités requises sont rarement concentrés chez un seul être. Alors vous voguez au gré de vos envies. Charnelles dans un premier temps, parce que votre « corps le vaut bien », pendant les quelques années ou votre physique est le plus avantageux. Il est toujours temps de faire des mioches.
Bien évidemment vous avez compris qu’il y aura toujours de jaloux pour vous traiter de tous les noms. Ne leur en veuillez, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Quoi de plus beau que la consommation à la fast Food. Sentir que pendant instant, toute une chaine se plie en quatre pour vous. Quelle sensation formidable. La royauté est aboli depuis belle lurette et pourtant pendant cet instant vous êtes la reine de la ruche ou de Navarre peu importe pourvu qu’il y ait l’ivresse.
Alors reste les péripéties ou les jalousies, les moralisatrices aux gueules super-fanées et super moches qui viennent vous reprocher votre consommation effrénée de mec à la norme iso-transgeniqué. Mais merde, quand on n’aime pas ou qu’on n’a pas les moyens on en dégoute pas les autres.
Que ces hommes n’aient rien dans la courge est secondaire. On ne leur demande pas d’écrire « les pensées » ou d’être un Aldous Huxley. On leur demande d’être beau, endimanche de la messe, et de préférence sans neurones pour permettre à tout le monde d’apprécier les qualités précédemment citées. Quoi de plus désagréable qu’un homme qui philosophe au lit ?
Vous n’avez pas de répit et il vous faut, je dois acquiescer une sacre dose de personnalité afin de faire face à tout ce ramassis de haine et de mépris. Mais vous savez ce que vous voulez et vous le méritez.
Alors se faire embroché tel un méchoui, et jetée tel un kleenex, cela devrait valoir toute l’admiration du monde. Paraitre naïve et conne à longueur de journée est un métier sans relâche qui nécessite une bonne dose de discipline. Mais cela, ils ne le comprennent pas !
Comme je ne peux parler qu’à mes congénères, qui sauront du moins comprendre mon propos, je vous supplierais de leur rendre le respect qu’elles méritent !
Pensez au bonheur de l’humanité ! Car par ces temps de crise annoncés, nous allons, nous les hommes, nous atteler à remplir la gamelle. Cela va bientôt être notre seule et unique préoccupation. Alors nous n’aurons plus le temps de séduire, d’échanger ! Il nous faudra juste copuler et expier les humiliations et les frustrations subies durant l’autre partie de la journée.
Pouvoir jouer de la lance sans être pompier. Nous nous devons d’apprivoiser donc la plus belle et la plus efficace partie de la gente féminine pour affronter ce large défi qui nous attend !!!
Ne perdons pas de vue, les nécessités du combat : « pouf girl, u are beautiful » !
Je t’admire. Pour ce que tu te prends dans la tronche.
Depuis que je surfe (je cause djeune ma gente dame !), il ne se passe un jour sans que je ne vois un texte pour te dénigrer. Pendant des siècles les hommes ont agi de la sorte en toute impunité. Usant et abusant de la chair humaine "amaguiz" comme disait l’excellent Rochefort !
Cela contribuait même à renforcer leur virilité. Il est même des expressions, telle « homme à femme » pour les nommer avec ce que cela comporte de valorisation. Et puis après la femme et l’homme, dieu créa la pouf, une race à part.
Consommatrice, dans l’esprit nymphomane, encore un quolibet, une expression sans les dorures. Nous sommes dans l’ère virtuelle. On achète, on consomme et on jette. Vous, les pouf, vous l’avez compris.
Parce qu’on est en droit d’exiger la qualité en tout point, quoi qu’il en coute. Toutes les qualités requises sont rarement concentrés chez un seul être. Alors vous voguez au gré de vos envies. Charnelles dans un premier temps, parce que votre « corps le vaut bien », pendant les quelques années ou votre physique est le plus avantageux. Il est toujours temps de faire des mioches.
Bien évidemment vous avez compris qu’il y aura toujours de jaloux pour vous traiter de tous les noms. Ne leur en veuillez, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Quoi de plus beau que la consommation à la fast Food. Sentir que pendant instant, toute une chaine se plie en quatre pour vous. Quelle sensation formidable. La royauté est aboli depuis belle lurette et pourtant pendant cet instant vous êtes la reine de la ruche ou de Navarre peu importe pourvu qu’il y ait l’ivresse.
Alors reste les péripéties ou les jalousies, les moralisatrices aux gueules super-fanées et super moches qui viennent vous reprocher votre consommation effrénée de mec à la norme iso-transgeniqué. Mais merde, quand on n’aime pas ou qu’on n’a pas les moyens on en dégoute pas les autres.
Que ces hommes n’aient rien dans la courge est secondaire. On ne leur demande pas d’écrire « les pensées » ou d’être un Aldous Huxley. On leur demande d’être beau, endimanche de la messe, et de préférence sans neurones pour permettre à tout le monde d’apprécier les qualités précédemment citées. Quoi de plus désagréable qu’un homme qui philosophe au lit ?
Vous n’avez pas de répit et il vous faut, je dois acquiescer une sacre dose de personnalité afin de faire face à tout ce ramassis de haine et de mépris. Mais vous savez ce que vous voulez et vous le méritez.
Alors se faire embroché tel un méchoui, et jetée tel un kleenex, cela devrait valoir toute l’admiration du monde. Paraitre naïve et conne à longueur de journée est un métier sans relâche qui nécessite une bonne dose de discipline. Mais cela, ils ne le comprennent pas !
Comme je ne peux parler qu’à mes congénères, qui sauront du moins comprendre mon propos, je vous supplierais de leur rendre le respect qu’elles méritent !
Pensez au bonheur de l’humanité ! Car par ces temps de crise annoncés, nous allons, nous les hommes, nous atteler à remplir la gamelle. Cela va bientôt être notre seule et unique préoccupation. Alors nous n’aurons plus le temps de séduire, d’échanger ! Il nous faudra juste copuler et expier les humiliations et les frustrations subies durant l’autre partie de la journée.
Pouvoir jouer de la lance sans être pompier. Nous nous devons d’apprivoiser donc la plus belle et la plus efficace partie de la gente féminine pour affronter ce large défi qui nous attend !!!
Ne perdons pas de vue, les nécessités du combat : « pouf girl, u are beautiful » !
ET ALORS ?
On me dit souvent grognon, grincheux, un brin taciturne vu que taquin fait ringard. Je m'incline.
je suis de nature carnivore, me délecte de la bêtise des hommes étant goulument insatisfait par la mienne. J’adore les être inqualifiables, en particulier ceux qui croient tenir le monde et rouler les autres.
J’ai trop entendu cette phrase pour la croire: " "You can fool all the people some of the time, and some of the people all the time, but you cannot fool all the people all the time.". Alors je suivrai le menteur jusque devant sa porte et pendant tout le trajet je me bidonnerais.
Parce que notre condition est misérable. On nait et on meurt et entre les deux on agonise. Certains profitent de ce laps de temps si infime, nous vivons réellement et pour les mieux lotis moins de 3000 semaines, certains remplissent des frigo, d'autres construisent des châteaux en Espagne et certains choisissent le bois le plus exotique possible pour se prémunir des vers, en vain.
On rencontre des gens et on les perd de vue, on tombe et certains se relèvent tout cela rend la vie risible.
Et alors ? Vous me direz. Et vous aurez raisons, dieu que vous avez raison et alors je me le demande encore et encore, jour après jour.
Cette question est devenue une litanie. Je n'en démords pas car elle reste sans réponse.
J’en suis arrive à me dire qu'alors on se trompe nous même, certains essayant de tromper les autres dans cette tromperie. ca devient un bordel géant !
J’ai rêve d'un sexthon, un vrai marathon de baise, être marié cent ans avec la même femme, léviter à la seule force d'y penser... j'ai rempli certains de mes rêves mais tout comme dans un bon rêve qui se respecte je me réveille toujours le lendemain en me reposant la même question, et alors ?
Ici et la des hommes se regardent le nombril ou se mettent un doigt dans le derrière, ici et la d'autres se calfeutrent dans un avenir qui leur est passé, ici est la des gens ne se regardent pas dans les yeux. Tout ce beau monde se croise au détour d'un hasard avec pour seule vraie question sans réponse, et alors ?
J’ai cru avoir la réponse à cette question le jour ou tu es entre dans ma vie.
Je me suis dit que la seule réponse qui alors me satisfaisait était de me dire que j'ai envie de te tenir la main. Je t'ai vu dans ton habit de transparence et je sais que dans ces moments ou on se sent invisible, seul compte le reflet de soi dans les yeux de l'autre. Il n ya même que cela qui compte pour le coup.
Ce petit bout de toi meilleur que tu as vu en moi c'est un peu de moi qui s'élevait. Un peu de moi arraché à la force du bras à cette condition. Il m'arrive alors de me dire que tu pourrais plier bagage demain car je ferais le ménage après ton passage. Que tu sois celle que j'ai croise, celui que j'ai vilipendé ou encore ceux qui ont pu m'envier. je sais désormais que tout ce beau monde peut se tirer parce que j'ai toujours su que les bonnes choses m'arrivent toujours après le déluge et après une petite ou une grande souffrance, peu importe car comme les bonnes chose m'arrivent toujours après les mauvaises, les mauvaises ne viendront qu'après qui sera forcement l'avant d'un ailleurs.
Alors je me mettrais dans cet état hystérique heureux d'avoir pu côtoyé un au delà et je rirais bien de mes semblables après avoir immortalisé, comme disait l’autre, l'éphémère avec des photos en couleur !
je suis de nature carnivore, me délecte de la bêtise des hommes étant goulument insatisfait par la mienne. J’adore les être inqualifiables, en particulier ceux qui croient tenir le monde et rouler les autres.
J’ai trop entendu cette phrase pour la croire: " "You can fool all the people some of the time, and some of the people all the time, but you cannot fool all the people all the time.". Alors je suivrai le menteur jusque devant sa porte et pendant tout le trajet je me bidonnerais.
Parce que notre condition est misérable. On nait et on meurt et entre les deux on agonise. Certains profitent de ce laps de temps si infime, nous vivons réellement et pour les mieux lotis moins de 3000 semaines, certains remplissent des frigo, d'autres construisent des châteaux en Espagne et certains choisissent le bois le plus exotique possible pour se prémunir des vers, en vain.
On rencontre des gens et on les perd de vue, on tombe et certains se relèvent tout cela rend la vie risible.
Et alors ? Vous me direz. Et vous aurez raisons, dieu que vous avez raison et alors je me le demande encore et encore, jour après jour.
Cette question est devenue une litanie. Je n'en démords pas car elle reste sans réponse.
J’en suis arrive à me dire qu'alors on se trompe nous même, certains essayant de tromper les autres dans cette tromperie. ca devient un bordel géant !
J’ai rêve d'un sexthon, un vrai marathon de baise, être marié cent ans avec la même femme, léviter à la seule force d'y penser... j'ai rempli certains de mes rêves mais tout comme dans un bon rêve qui se respecte je me réveille toujours le lendemain en me reposant la même question, et alors ?
Ici et la des hommes se regardent le nombril ou se mettent un doigt dans le derrière, ici et la d'autres se calfeutrent dans un avenir qui leur est passé, ici est la des gens ne se regardent pas dans les yeux. Tout ce beau monde se croise au détour d'un hasard avec pour seule vraie question sans réponse, et alors ?
J’ai cru avoir la réponse à cette question le jour ou tu es entre dans ma vie.
Je me suis dit que la seule réponse qui alors me satisfaisait était de me dire que j'ai envie de te tenir la main. Je t'ai vu dans ton habit de transparence et je sais que dans ces moments ou on se sent invisible, seul compte le reflet de soi dans les yeux de l'autre. Il n ya même que cela qui compte pour le coup.
Ce petit bout de toi meilleur que tu as vu en moi c'est un peu de moi qui s'élevait. Un peu de moi arraché à la force du bras à cette condition. Il m'arrive alors de me dire que tu pourrais plier bagage demain car je ferais le ménage après ton passage. Que tu sois celle que j'ai croise, celui que j'ai vilipendé ou encore ceux qui ont pu m'envier. je sais désormais que tout ce beau monde peut se tirer parce que j'ai toujours su que les bonnes choses m'arrivent toujours après le déluge et après une petite ou une grande souffrance, peu importe car comme les bonnes chose m'arrivent toujours après les mauvaises, les mauvaises ne viendront qu'après qui sera forcement l'avant d'un ailleurs.
Alors je me mettrais dans cet état hystérique heureux d'avoir pu côtoyé un au delà et je rirais bien de mes semblables après avoir immortalisé, comme disait l’autre, l'éphémère avec des photos en couleur !
mardi 2 juin 2009
Si vous n’êtes pas bien en France vous n’avez qu’à rentrer chez vous !
Je sais cher monsieur ou gente dame que je ne suis pas ici chez moi !
Bien mieux que vous, car je sais que je ne suis, ni ici, ni nulle par ailleurs chez moi !
Je sais, mais il te sera difficile de le comprendre, que je ne suis qu’un oiseau de passage.
Affublé de rites bien primaires pour m’en donner l’impression contraire.
L’idée n’est pas venu de toi, ni de moi à tout de bien y réfléchir.
Mais je me ferais bien plaisir de semer, dans la terre que tu t’es octroyé, mes idées noires.
Je serais un homme bien sous tous rapports, à l’idée de te plaire, mais qui au fond te déplaira encore plus.
C’est bien connu, je suis dénué d’âme, je suis un homme de couleur, un basané, un fainéant, un moins bien sous toute couture, carrément citoyen de seconde zone.
Je me parerais de tous ces habits de lumière à tes yeux pour te plaire.
J’ai ma conscience et ma liberté de penser avec moi.
Tu n’y pourras donc rien, à part t’agiter tel un guignol qui aura le mérite de me faire rire.
Car je me fends la poire à te savoir si investi à me dénigrer.
Cela me donne l’importance que tu aimerais m’ôter par ailleurs.
Mais comme cela te dépasse tu te dis que ca dépend. De cette idée, je me forge un caractère, à te rendre zinzin.
Je ne crois pas à la grandeur de l’homme car j’ai vu des hommes grands sans... Je te laisse te fourvoyer à souhait et telle une salière qui se vide, tu renforceras ma force de conviction.
Ta terre, tu ne l’emporteras pas entre quatre planches. Et même si tu t’y obstines, il y a de grandes chances que cela accouche d'un sapin.
Alors mes descendants continueront de la souiller, ta terre, de leurs idées bien noires.
Ils prendront ce qu’on ne leur donne pas pour te laisser tout le reste !
Si tu savais comme ton indifférence me touche, tu t’y attacherais davantage.
Cries, calomnies, mens …à ta guise, cela amusera tes consanguins. Une orientation dans ta vie, une ligne directrice dans ta destinée. C’est ta seule issue, ta seule façon d’être quelqu’un.
Et parce que je ne le sais que trop bien je te laisserais ce plaisir et même davantage. Car je sais que cela ne fera pas de toi un homme ou une Femme mais t’en donneras l’impression.
Après tout c’est ce qui t’intéresse. Être l’auteur de mon malheur n’est qu’une façon de te réaliser.
Je te le con-cède et t’y accompagnerais volontiers. Car de la tu saisiras peut être la quintessence de la vie ; ici ou ailleurs le tout est de se réaliser, se voir devenir papillon à la place d’une chrysalide et voguer au grès de ses battements.
Alors et alors seulement tu comprendras que tu n’es ni ici ni ailleurs chez toi : et désormais le butine-ment sera ton sevrage. Tu voleras aussi tu verras « ogre-et » des vents et de la houle, tu adhéreras à la théorie du battement d’aile.
Nous sommes un tout et ne formons rien. Mais en acceptant d’être une somme de rien, dans ce bas monde, nous formerons un tout !
Bien mieux que vous, car je sais que je ne suis, ni ici, ni nulle par ailleurs chez moi !
Je sais, mais il te sera difficile de le comprendre, que je ne suis qu’un oiseau de passage.
Affublé de rites bien primaires pour m’en donner l’impression contraire.
L’idée n’est pas venu de toi, ni de moi à tout de bien y réfléchir.
Mais je me ferais bien plaisir de semer, dans la terre que tu t’es octroyé, mes idées noires.
Je serais un homme bien sous tous rapports, à l’idée de te plaire, mais qui au fond te déplaira encore plus.
C’est bien connu, je suis dénué d’âme, je suis un homme de couleur, un basané, un fainéant, un moins bien sous toute couture, carrément citoyen de seconde zone.
Je me parerais de tous ces habits de lumière à tes yeux pour te plaire.
J’ai ma conscience et ma liberté de penser avec moi.
Tu n’y pourras donc rien, à part t’agiter tel un guignol qui aura le mérite de me faire rire.
Car je me fends la poire à te savoir si investi à me dénigrer.
Cela me donne l’importance que tu aimerais m’ôter par ailleurs.
Mais comme cela te dépasse tu te dis que ca dépend. De cette idée, je me forge un caractère, à te rendre zinzin.
Je ne crois pas à la grandeur de l’homme car j’ai vu des hommes grands sans... Je te laisse te fourvoyer à souhait et telle une salière qui se vide, tu renforceras ma force de conviction.
Ta terre, tu ne l’emporteras pas entre quatre planches. Et même si tu t’y obstines, il y a de grandes chances que cela accouche d'un sapin.
Alors mes descendants continueront de la souiller, ta terre, de leurs idées bien noires.
Ils prendront ce qu’on ne leur donne pas pour te laisser tout le reste !
Si tu savais comme ton indifférence me touche, tu t’y attacherais davantage.
Cries, calomnies, mens …à ta guise, cela amusera tes consanguins. Une orientation dans ta vie, une ligne directrice dans ta destinée. C’est ta seule issue, ta seule façon d’être quelqu’un.
Et parce que je ne le sais que trop bien je te laisserais ce plaisir et même davantage. Car je sais que cela ne fera pas de toi un homme ou une Femme mais t’en donneras l’impression.
Après tout c’est ce qui t’intéresse. Être l’auteur de mon malheur n’est qu’une façon de te réaliser.
Je te le con-cède et t’y accompagnerais volontiers. Car de la tu saisiras peut être la quintessence de la vie ; ici ou ailleurs le tout est de se réaliser, se voir devenir papillon à la place d’une chrysalide et voguer au grès de ses battements.
Alors et alors seulement tu comprendras que tu n’es ni ici ni ailleurs chez toi : et désormais le butine-ment sera ton sevrage. Tu voleras aussi tu verras « ogre-et » des vents et de la houle, tu adhéreras à la théorie du battement d’aile.
Nous sommes un tout et ne formons rien. Mais en acceptant d’être une somme de rien, dans ce bas monde, nous formerons un tout !
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