souvent servi d’excuse, de prétexte, parce que je suis le bon client. Celui qui vous excuse des maux les plus détestables. Celui qui vous affranchi de la culpabilité. Dans ce bas monde, beaucoup se voilent la face. On est trop occupe par d’autres soucis bien plus terre à terre. Pourquoi se perdre dans des causes qui existent depuis la nuit des temps et qui ne trouveront sans doute jamais d’issu. Alors bien souvent les gens de la couleur de l’innocence et de la pureté, en tout cas ceux que je connais, se délectent de pouvoir me présenter tel un joli achalandage. Il est vrai que je présente bien. Je suis la quasi bon gendre. Celui qui sait aligner deux mots, qui prend, un minimum soin de son apparence, l e bon vivant. Celui qui n’a pas de revendications en tout cas pas celles qui peuvent vous plomber une soirée. Je n’aurais pas cette couleur d’ébène, je serais presque parfait. Ne vous esclaffez pas ! Je vous vois d’ici flairer mon melon. Je vous imagine vous moquer de mon ego. Mais permettez-moi de m’octroyer, ce mignon péché, celui que vous ne me permettrez jamais parce que vous ne sauriez reconnaitre aucune de ces qualités. Alors que peut être je les usurpe, alors peut être vous sentirez le faussaire grandir en moi. Mais c’est ainsi et c’est le sujet. En effet je veux juste vous dire que si vous vous regardez dans un miroir et qu’il vous arrive de vous dire que vous avez un excellent ami, alors rasez vous à blanc, chaussez les rangers et filez chez le tatoueur. Il n’existe plus de manifeste chez le libraire, mais l’inspiration au fond de vous fera l’affaire. Parce que cette phrase la parmi tant d’autres, sont les prémices des promesses de l’ombre que votre côte civilisé ne saura jamais avouer, par lâcheté, manque de conviction ou tout simplement par étroitesse d’esprit. J’aime les autres ! Ces abrutis qui assument des thèses irrationnelles, mais au moins ceux la ont le mérite d’y croire et jamais ils n’auront la faiblesse de m’afficher comme signe de leur ouverture d’esprit !
Mais seulement comprenez-vous un mot de ce que je dis, où alors peut être que vous ne vous sentez pas visé parce que vous-même avez un excellent ami noir !
mardi 14 juillet 2009
lundi 6 juillet 2009
J’aime à croire que c’est mon départ que vous fêtez
Je sais, ce jour viendra où, je partirais en silence. Ou personne ne me regrettera ou presque. Et pourtant j’ai hâte de partir. De fuir cette indifférence qui me colle à la peau. Sans doute mal plus enviable pour ceux qui ont le choix. Mais moi je n’ai pas choisi ni de naitre et encore moins le courage de partir. J’imagine qu’en cette période où tout bruisse dehors. Ca doit valoir l’agitation d’une fourmilière. Je me rappelle de cela à l’époque ou j’étais quelqu’un avec un nom et une dignité maigre souvenir d’une époque qui n’a existe que dans ma tète. J’ai traversé, en silence; ce long périple brouillant. Non pas que je n’aurais pas aimé me mêler à la foule hystérique. Je n’étais tout simplement pas convié. Je ne suis pas homme à m’imposer et même à la vie. Je croyais que c’était un berceau, cette dame nature. J’ai entendu des gens parler de sa générosité qui me reste légendaire voire même mythique. Il faut croire qu’elle doit avoir ces chouchous et ces enfants gâtes. Et elle m’a fait boire la coupe jusqu’à la lie.
Est-ce sans doute de ma faute. Oui sans doute de ne pas avoir eu les dents d’une louve et le cœur léger qui se fiche de tout. Je n’étais pas des vôtres ou alors de ceux qui se complaisent dans l’incompréhension du monde. Je n’ai pas compris les règles du jeu. Ni pourquoi je devais gagner ou perdre. Je me suis laisse alors bousculer par le vent telle une brindille et je croyais que c’était à dessin ! Je me consolais alors, dans l’errance, de cet espoir fou d’une destination à bon port. Après tout je n’aurais pas été le premier ni le dernier. Mais je suis reste en fond de cale et même la on ne m’y tolérait à peine. Préférant y charrier leurs marchandises, sans doute plus nécessaires. Alors parce que vous vous fichez de ma condition, je vous laisse le monde avec vos occupations. Je ne serais plus une honte pour vous si tant est que je le fus un jour. Je leur dirai en haut que vous êtes si bien ici et que vous comptez même y rester à jamais. Moi j’ai hâte de partir la haut car je sais que ca ne sera pas pire. Et même si c’est le cas l’espoir d’une autre vie m’y appelle. Le même qui me promettait le port ici bas. Je n’ai pas connu l’absence ou le manque, mais la relation à autrui ce que vous appelez la solitude.
Est-ce sans doute de ma faute. Oui sans doute de ne pas avoir eu les dents d’une louve et le cœur léger qui se fiche de tout. Je n’étais pas des vôtres ou alors de ceux qui se complaisent dans l’incompréhension du monde. Je n’ai pas compris les règles du jeu. Ni pourquoi je devais gagner ou perdre. Je me suis laisse alors bousculer par le vent telle une brindille et je croyais que c’était à dessin ! Je me consolais alors, dans l’errance, de cet espoir fou d’une destination à bon port. Après tout je n’aurais pas été le premier ni le dernier. Mais je suis reste en fond de cale et même la on ne m’y tolérait à peine. Préférant y charrier leurs marchandises, sans doute plus nécessaires. Alors parce que vous vous fichez de ma condition, je vous laisse le monde avec vos occupations. Je ne serais plus une honte pour vous si tant est que je le fus un jour. Je leur dirai en haut que vous êtes si bien ici et que vous comptez même y rester à jamais. Moi j’ai hâte de partir la haut car je sais que ca ne sera pas pire. Et même si c’est le cas l’espoir d’une autre vie m’y appelle. Le même qui me promettait le port ici bas. Je n’ai pas connu l’absence ou le manque, mais la relation à autrui ce que vous appelez la solitude.
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